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đȘłdĂ©s 1996, Bayrou alors ministre de l’Ă©ducation savait que des accusations de violences extrĂȘmes existaient, malgrĂ© cela, il a dĂ©fendu l’Ă©cole de BĂ©tharram ⊠son Ă©pouse y enseignait le catĂ©chisme, le juge instruisant certaines des plaintes Ă©tait son voisin âŠ
CommuniquĂ© de Pascql Lebecq – 19 fĂ©vrier 2025
Bayrou est informĂ© de violences Ă #Betharram dĂšs 1996. Il est alors ministre de lâĂ©ducation mais ne fait rien. Si il avait cassĂ© le contrat dâassociation, lâĂ©tablissement aurait fermĂ© et les crimes qui ont continuĂ© Ă y ĂȘtre commis nâauraient pu se produire.

BĂ©tharram câest plus dâune centaines de plaintes Ă ce jour
- Le Premier ministre Bayrou savait que nier sa rencontre avec le juge Millerand sur une affaire pédocriminelle en 98 était un mensonge.
- Bayrou savait que le dĂ©putĂ©-maire RPR Perricard, la famille de Castelbajac et tant d’autres comme lui de l’UDF ont Ă©crasĂ© la parole des victimes
- Bayrou savait que la crĂ©ation de comitĂ©s de soutien, son soutien Ă©taient au service d’une Ă©cole aux accusations sans fin.
- Bayrou savait ce qu’il faisait en dĂ©nonçant les critiques contre BĂ©tharram, comme des “attaques”.
- Il ne pouvait entretenir que l’omerta Ă la suite de tous les tĂ©moignages de maltraitance.
- Bayrou savait les faits de 1996, il s’Ă©tait rendu sur place pour dĂ©fendre l’Ă©cole, vanter des “vĂ©rifications.. favorables”
- Il dit rĂ©cemment : “lâune de mes filles se souvient dâune affaire de claques donnĂ©es”Le surveillant a Ă©tĂ© condamnĂ© pour la perte de l’audition de l’enfan
- Bayrou savait que l’Ă©tablissement de BĂ©tharram s’Ă©tait illustrĂ© par une dĂ©fense sans concession du surveillant violent.
- C’Ă©tait sans jamais considĂ©rer la souffrance, les sĂ©vices de l’enfant, ni mĂȘme la condamnation pĂ©nale.
- Bayrou savait qu’une professeure de mathĂ©matiques de BĂ©tharram avait pris le rĂŽle de lanceuse d’alerte sur toutes les violences normalisĂ©es contre les enfants
- Elle le lui avait Ă©crit et mĂȘme dit depuis des dĂ©cennies, il nie lĂ encore toute rencontre
- Bayrou savait que des accusations pédocriminelles existaient.
- On l’avait informĂ© de ce qui se passait (des parents d’Ă©lĂšves, des enseignants, mĂȘme un juge d’instruction en 1998), mais il disait rĂ©cemment : “Jamais personne ne mâa alertĂ© sur ce sujet”.
- Bayrou savait que Serge Legrand, ancien candidat de son parti (UDF) et bonne connaissance, Ă©tait l’avocat de l’Ă©cole.
- Une armada de tĂ©nors du barreau comme LaÂparade avait fait taire tout critique contre l’Ă©tablissement.
- Bayrou savait que sa femme Ă©tait intervenante de catĂ©chisme Ă BĂ©tharram.Elle s’Ă©tait rendue Ă l’enterrement du pĂšre Carricart, qui s’Ă©tait suicidĂ© aprĂšs une deuxiĂšme accusation de pĂ©docriminalitĂ©, malgrĂ© le soutien du Vatican.
- Alors dĂ©putĂ© et dans l’exĂ©cutif local, Bayrou savait qu’il aurait dĂ» ĂȘtre moteur de l’alerte Ă ces successeurs
- DĂšs 1997, SĂ©golĂšnevRoyal publie une circulaire inĂ©dite contre les violences sexuelles Ă l’Ă©cole
- Bayrou a Ă©tĂ© un garant du respectable BĂ©tharram, l’invocation des faits isolĂ©s
- Bayrou savait qu’une enquĂȘte de l’Ăglise avait admis des violences sexuelles, jamais il nâa eu un regard Ă ce sujet
- Il a encore rendu tant d’Ă©loges Ă BĂ©tharram aux Ă©lections municipales de 2020 Ă Pau, menant Ă une transaction lucrative pour l’image de l’Ă©cole.
- Bayrou en savait déjà trop pour ne pas réagir depuis 1996.
- Or, de 1996 Ă 1997, le ministre de l’Ăducation nationale Bayrou n’a pas rĂ©agi, il a soutenu BĂ©tharram.
- De 1997 Ă 2001, PrĂ©sident du conseil gĂ©nĂ©ral des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques il n’a pas rĂ©agi, il a soutenu BĂ©tharram
- De 2002 Ă 2012, dĂ©putĂ© des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques Bayrou n’a pas rĂ©agi, il a soutenu BĂ©tharram.
- Depuis 2014, comme maire de Pau n’a pas rĂ©agi, il a soutenu BĂ©tharram.
- Qui pouvait agir sur l’affaire Notre-Dame de BĂ©tharram ?
- Si ce n’est celui qui fut ministre de l’Ăducation nationale au moment de la premiĂšre plainte, il Ă©tait prĂ©sident du conseil gĂ©nĂ©ral/dĂ©putĂ© lors de la 1Ăšre affaire pĂ©docriminelle, puis maire de la ville ? Â
- Un mot en 1996, 1998, 2000, 2002, 2005, 2014, un seul mot de Bayrou pour les victimes aurait Ă©tĂ© le minimum. IL NâA RIEN DIT !
Bayrou savait, il savait et est restĂ© silencieux – pire, il a dĂ©fendu BĂ©tharram. Puis a niĂ© ce qui n’allait pas dans son sens, jusqu’Ă mentir Ă l’AssemblĂ©e nationale.
[âŠBayrou a couvert un ecclĂ©siastique et une institution qui a sodomisĂ© des enfants,
il doit dĂ©missionner de toutes ses fonctions publiques – il est indigne de ses fonctionsâŠ]
A. Trupiano-Remille
