đïž Â«Â La reconnaissance de la Palestine, une avancĂ©e vers la paix ? »
Coup de bec de Pascal Lebecq

La reconnaissance de la Palestine comme Ătat est la solution permettant Ă chacun de revivre – comme avant 1948 – cĂŽte Ă cĂŽte dans la paix.Â
Cette décision, actée par de nombreuses nations, témoigne de la prise de conscience du génocide en cours à Gaza.
La poursuite des auteurs des massacres, qu’ils soient palestiniens ou israĂ©liens, est le minimum pour rĂ©tablir la justice et Ă©viter de prolonger un cycle de violence sans fin.
La cour de justice internationale doit prendre en main la responsabilitĂ© ferme de poursuivre les tyrans, qu’il soit palestiniens ou israĂ©liens ou de quelques nation que ce soit.
Dans un contexte oĂč les violences persistent et oĂč les droits de l’homme sont bafouĂ©s, il faut Ă©tablir une justice impartiale pour la sĂ©curitĂ© du monde, aucune nation ne peut bafouer le droit international sans risques de lĂ©gitimer la force et la violence pour rĂ©gler un conflit ce qui serait un retour vers la barbarie et le droit du plus fort.
Les crimes commis, qu’ils soient le fait de groupes ou d’Ă©tats, doivent ĂȘtre instruits et jugĂ©s, afin de garantir que ceux qui portent atteinte Ă la dignitĂ© humaine soient reconnus responsables individuellement pour leurs actes. La justice ne peut pas avoir de frontiĂšres, et il est indispensable de s’assurer que toutes les voix sont entendues.
La paix ne pourra s’installer que lorsque la justice sera rendue. Il est plus que temps temps que la communautĂ© internationale unisse ses efforts pour mener la Cour de justice Ă agir – au plus vite – Ă apporter un espoir de rĂ©conciliation pour toutes les victimes
Au lieu de vendre des armes Ă israĂ«l, la France doit renouer avec sa diplomatie tant reconnue – avant que Macron ne la dĂ©molisse – car elle a un rĂŽle crucial Ă jouer dans le dialogue et la mĂ©diation.
Il est temps d’Ćuvrer Ă nouveau pour un avenir ou la sĂ©curitĂ© et la dignitĂ© de tous les peuples soient respectĂ©s. Faisons en sorte que cette reconnaissance ne soit pas qu’un symbole, mais une vĂ©ritable tremplin pour la paix
Pascal Lebecq


