đïžJe n’ai pas envie de mĂącher mes mots âŠ
Coup de bec de Pascal Lebecq du 13 août 25
Je n’ai pas envie de mĂącher mes mots, mais cela vous y ĂȘtes maintenant habituĂ©s – et je n’ai pas l’intention de mettre des gants pour parler de l’un ou de l’autre des crapules qui nous gouvernent. j’ai tout simplement envie de m’exprimer sur la situation catastrophique de la France et le dĂ©sarroi de beaucoup dâentre nous.

Il est de plus en plus difficile de fermer les yeux sur les problĂšmes qui gangrĂšnent notre pays.
La France est dans le chaos, et l’explosion sociale semble inĂ©vitable. Un ras-le-bol gĂ©nĂ©ral s’installe, et chaque jour qui passe renforce le sentiment d’impuissance et de frustration parmi les citoyens. Le dĂ©sespoir est palpable dans la rue, dans les foyers, dans les conversations, on ressent tous une dĂ©prime ambiante, une fatigue face Ă des promesses non tenues et Ă des dĂ©cisions qui sont dĂ©connectĂ©s de la rĂ©alitĂ© du quotidien.
Les gens sont fatiguĂ©s de voir leur prĂ©occupations ignorĂ©es, de subir des mesures qui ne font qu’aggraver leur situation, les inĂ©galitĂ©s se creusent, les services publics se dĂ©gradent, et l’espoir d’un avenir meilleur sâĂ©loigne. Nous, citoyens, qui devrions ĂȘtre au cĆur des dĂ©cisions, sommes de plus en plus marginalisĂ©s, comme si nous nâĂ©tions que des spectateurs dâun spectacle imposĂ© – attachĂ©s et bĂąillonnĂ©s sur nos fauteuils de spectateur
L’atmosphĂšre de dĂ©sespoir et palpable. Les sourires s’effacent, les Ă©changes se font plus rares, et la mĂ©fiance envers les institutions grandit. Les Français se demandent jusque oĂč cela ira, et beaucoup craignent maintenant que la colĂšre ne dĂ©borde, entraĂźnant des consĂ©quences dramatiques pour tous.
Nos responsables politiques n’ont aucune conscience de cette dĂ©tresse collective. Ils ignorent la souffrance des citoyens, il ne mettent en place aucune solution concrĂšte pour redonner de l’espoir et de la dignitĂ© Ă tous ceux qui se sentent abandonnĂ©s.
Cette clase politiques qui nous gouvernent, aprĂšs avoir pillĂ© notre nation, ne trouve rien de mieux que de nous soustraire deux jours fĂ©riĂ©s et bien d’ autres acquis comme si cela allait rĂ©soudre les problĂšmes et l’insupportable dĂ©ficit des comptes publics quâil ont par eux-mĂȘme gĂ©nĂ©rĂ© .
Cette « mafia » d’Ă©lus qui organisent de jour en jour le dĂ©pouillage du pays pour leur propre profit et leurs copains, tout en se servant de voyous encore plus requins tels que des cabinets de conseil, des fonds de pension, des fonds d’investissement – disons bien : tout un monde de copiĂ©-collĂ© inutile et criminel
Il est urgent que nous nous rebellions – cela est lĂ©gitime en regard de cette situation gangrenant notre sociĂ©tĂ© et conduisant Ă la souffrance.
Nous ne sommes pas des moutons – nous n’avons quatre pattes, ni de laine sur le dos, nous sommes des citoyens des travailleurs, des familles qui mĂ©ritent d’ĂȘtre entendu et respectĂ©s en comme des humains.
Il est temps de faire entendre notre voix sans se plier Ă leur menaces. Nous devons revendiquer nos droits et lutter contre cette oligarchie qui semble se moquer de nos vies. Nous sommes sous une RĂ©publique et non plus sous une monarchie. Le roitelet macron doit respecter celaâŠ
Ensemble nous devons nous lever pour exiger un changement, pour rĂ©clamer une gouvernance lĂ©gitime qui place l’intĂ©rĂȘt gĂ©nĂ©ral au-dessus des intĂ©rĂȘts particuliers, ne laissons pas cette bande de bouffons, de rigolos continuer Ă nous mener Ă la ruine. La rĂ©volte est nĂ©cessaire pour reprendre notre destin en main elle peut ĂȘtre pacifique dans les rues cela ne pose aucun problĂšme, c’est le peuple qui remettra la rĂ©publique sur les rails et l’Ă©galitĂ© des chances de tout le monde sans trouvera confortĂ©.
Pascal Lebecq