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đŸ•·ïžMacron, une histoire bien sombre et inquiĂ©tante : un homme politique « mandchou* » ?

  • * Un homme politique « mandchou » , est un agent dormant sous le contrĂŽle d’une puissance cachĂ©e. Un agent dormant, qui « activé » pour mener un projet Ă  l’insu du peuple.

L’expression « candidat mandchou » Ă©voque des thrillers d’espionnage, des hommes endoctrinĂ©s et programmĂ©s pour agir contre leur propre nation. C’est un fantasme hollywoodien. Vraiment ? Car lorsqu’on examine Emmanuel Macron, son ascension soudaine et improbable de l’ombre Ă  l’ÉlysĂ©e commence Ă  paraĂźtre moins fictive.

Pas de lavage de cerveau digne d’une science-fiction. Pas de flashs ni de spirales hypnotiques. Juste un toilettage soignĂ©. Des soutiens silencieux. Des loyautĂ©s façonnĂ©es bien avant que le public ne connaisse son nom. Un homme mĂ©diocre qui se fait gifler par sa femme dominatrice est dĂ©sormais l’une des personnes les plus importante du monde.

L’Allemagne est peut-ĂȘtre le moteur Ă©conomique de l’Europe, mais la France a toujours Ă©tĂ© son joyau : le cƓur politique, militaire et culturel du continent. ContrĂŽlez la France, et vous contrĂŽlerez non seulement les marchĂ©s, mais aussi les esprits, les traditions et l’avenir mĂȘme de l’Europe.

Ce qui rend l’ascension de Macron d’autant plus inquiĂ©tante. Comment, se demande-t-on, un banquier de province, pratiquement inconnu du public français il y a dix ans, a-t-il pu accĂ©der si rapidement Ă  la plus haute fonction du pays ? En vĂ©ritĂ©, il n’a pas gravi les Ă©chelons. Il s’est laissĂ© porter.

Les annĂ©es Rothschild de Macron rĂ©vĂšlent un homme motivĂ© par ses relations, et non par ses compĂ©tences. Ses premiers collĂšgues se souviennent qu’il ignorait mĂȘme ce que signifiait l’EBITDA (bĂ©nĂ©fice avant intĂ©rĂȘts, impĂŽts, dĂ©prĂ©ciation et amortissement). Un terme fondamental en finance d’entreprise.

C’est comme si un mĂ©canicien ne savait pas ce qu’est un allumage. Pourtant, Macron est passĂ© de simples tĂąches sur tableur Ă  un poste d’associĂ© en un temps record, grĂące Ă  des soutiens d’Ă©lite et Ă  des avantages opportuns, et non Ă  une maĂźtrise technique. De banquier relativement obscur aux plus hautes sphĂšres de la politique europĂ©enne.

L’ascension fut trop rapide, trop nette et bien trop suspecte. Entre en scĂšne Jacques Attali. Son nom n’Ă©voque peut-ĂȘtre pas grand-chose pour certains lecteurs, mais c’est un homme qui influence la classe politique française depuis des dĂ©cennies. Aujourd’hui ĂągĂ© de 81 ans, il a Ă©tĂ© conseiller spĂ©cial du prĂ©sident François Mitterrand.

Attali a jouĂ© un rĂŽle clĂ© dans le mentorat de François Hollande. Aujourd’hui encore, il figure parmi les plus redoutables acteurs de l’ombre de la politique française. Dans le contexte amĂ©ricain, son influence le placerait au mĂȘme niveau que Zbigniew Brzezinski et George Soros. Mi-stratĂšge, mi-gardien, mi-financier.

Attali s’est vantĂ© un jour d’avoir « dĂ©couvert » Macron, prĂ©tendant mĂȘme l’avoir « inventĂ© ». Le Macron que nous voyons aujourd’hui – l’homme politique soigneusement habillĂ©, le mondialiste assumĂ©, le prĂ©sident taillĂ© pour la tĂ©lĂ©vision – n’est pas nĂ©. Il s’est construit. Et il s’est construit Ă  une vitesse remarquable.

À 32 ans, la sĂ©lection de Macron au sein du programme de la Fondation franco-amĂ©ricaine l’a placĂ© parmi les futurs agents alignĂ©s sur les intĂ©rĂȘts intĂ©grationnistes des États-Unis et de l’Union europĂ©enne. La Fondation a longtemps servi de vivier discret aux Ă©lites transatlantiques.

Parmi les anciens participants au programme Jeunes Leaders de la Fondation franco-amĂ©ricaine figurent des personnalitĂ©s comme Bill et Hillary Clinton. Macron est passĂ© par d’autres institutions de formation d’Ă©lite : Sciences Po et l’École nationale d’administration (ENA).

Sciences Po, souvent considĂ©rĂ©e comme le berceau de la classe dirigeante française, a formĂ© des gĂ©nĂ©rations de prĂ©sidents, de Premiers ministres et de hauts fonctionnaires. L’ENA est encore plus exclusive. FondĂ©e aprĂšs la Seconde Guerre mondiale, elle a Ă©tĂ© conçue pour former les fonctionnaires qui allaient reconstruire la France moderne.

Parmi les anciens Ă©lĂšves de l’ENA figurent Hollande, Jacques Chirac, ValĂ©ry Giscard d’Estaing et M. Macron. Mais vint ensuite le Bilderberg, vĂ©ritable terrain d’essai. Quelques mois aprĂšs sa participation en 2014, la carriĂšre politique de Macron dĂ©collait.

Pour les non-initiĂ©s, le Bilderberg est un rassemblement privĂ©, sur invitation uniquement, oĂč les banquiers, PDG, gĂ©nĂ©raux et hommes politiques les plus puissants du monde se rĂ©unissent Ă  huis clos. En toute confidentialitĂ©, Ă  l’abri des regards et loin de toute responsabilitĂ©.

C’est lĂ  que les futurs dirigeants sont Ă©valuĂ©s, testĂ©s et discrĂštement approuvĂ©s. Lors de la rĂ©union de 2014, Macron s’est retrouvĂ© directement face Ă  ceux et celles qui allaient bientĂŽt financer et promouvoir son ascension. Ce n’Ă©tait pas une coĂŻncidence. C’Ă©tait, Ă  mon avis, un sacre.

En 2016, aprĂšs avoir Ă©tĂ© nommĂ© Jeune Leader Mondial du Forum Économique Mondial (FEM), Macron a franchi une nouvelle Ă©tape « miraculeuse ». Il a rejoint un groupe soigneusement sĂ©lectionnĂ© et approuvĂ© par Klaus Schwab, parmi lequel figuraient des personnalitĂ©s comme Justin Trudeau et Jacinda Ardern.

Ce fut un nouveau signal clair, un soutien public des mĂȘmes intĂ©rĂȘts mondiaux qui l’avaient soutenu dĂšs le dĂ©but. Moins de douze mois plus tard, Macron accĂ©dait Ă  la prĂ©sidence française. Un exploit remarquable pour un homme sans vĂ©ritable base politique ni passĂ© Ă©lectoral.

Ses principaux rivaux furent systĂ©matiquement paralysĂ©s par les scandales, dĂ©noncĂ©s et poursuivis avec une efficacitĂ© rarement vue dans un pays oĂč l’appareil judiciaire est gĂ©nĂ©ralement lent. Pendant ce temps, un mouvement politique – En Marche ! – fut constituĂ© presque du jour au lendemain.

Soutenu par des donateurs fortunĂ©s et coordonnĂ© par des consultants et des cabinets Ă©troitement liĂ©s Ă  l’Ă©lite Ă©conomique et financiĂšre française, Macron n’a pas créé un mouvement. Un mouvement s’est créé autour de lui. L’ascension d’Emmanuel Macron n’a rien de normal.

Sous sa direction, la France a été poussée plus profondément sous le contrÎle des grandes entreprises, subordonnée à des institutions supranationales et soumise à de vastes expériences sociales, souvent au mépris flagrant de la volonté du peuple français. Il a gouverné non pas en serviteur de la nation, mais en agent.

Les industries nationales ont Ă©tĂ© dĂ©mantelĂ©es. Les institutions traditionnelles ont Ă©tĂ© affaiblies. La colĂšre populaire s’est transformĂ©e en rĂ©volte, visible partout, des Gilets jaunes aux manifestations paysannes qui paralysent pĂ©riodiquement certaines rĂ©gions du pays.

Il a menĂ© une guerre contre la libertĂ© d’expression et prĂ©sidĂ© Ă  des politiques d’immigration massive qui ont transformĂ© la dĂ©mographie des grandes villes. Il a Ă©tendu la surveillance numĂ©rique Ă  un niveau qui rivalise dĂ©sormais avec tout ce que l’on voit dans les États autoritaires. Il a imposĂ© des vaccins avec un mĂ©pris affichĂ© pour les dissidents.

Il s’est vantĂ© que son gouvernement rendrait la vie « misĂ©rable » aux non-vaccinĂ©s. ParallĂšlement, Macron a cultivĂ© une image soigneusement entretenue de respectabilitĂ© centriste. Les mĂ©dias anglophones l’ont couvert d’Ă©loges sans fin, alors mĂȘme que sa cote de popularitĂ© Ă©tait en chute libre.

L’acteur politique moderne n’a pas besoin d’ĂȘtre reprogrammĂ©. Il lui suffit d’ambition, de vanitĂ© et de personnes compĂ©tentes qui lui murmurent Ă  l’oreille des promesses de pouvoir et de protection.

Qui voudrait d’un homme comme Macron Ă  la barre ? Ceux qui avaient besoin d’une figure de proue volontaire pour gĂ©rer, recadrer et, Ă  terme, dissoudre la souverainetĂ© de la France dans un projet plus vaste et sans frontiĂšres – une France non plus pour les Français, mais pour les architectes de l’agenda mondial.

Publié dans Wide Awake Media par le chercheur John Mac Ghlionn.