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đŸ§ŒÂ«Â Premier aoĂ»t 2025 – JournĂ©e de grand matraquage social -Le 10 septembre, agissons »

Coup de bec de Pascal Lebecq

Depuis plusieurs mois, les hausses successives qui s’abattent sur tous nos mĂ©nages mettent nos familles encore plus en difficultĂ©. Nous sommes une majoritĂ© a nous trouver plongĂ©s dans une prĂ©caritĂ© que l’on n’avait jamais observĂ©e depuis les annĂ©es 1940, lors de la pĂ©riode de guerre. Aujourd’hui, beaucoup d’entre nous n’ont plus les moyens de remplir leur frigo, de se soigner ou mĂȘme de prendre un peu de temps pour eux, pour se dĂ©tendre ou profiter des loisirs avec leurs enfants, 
 de vivre sans inquiĂ©tude. La situation devient de plus en plus alarmante.

  • Comme si cela ne suffisait pas, on nous impose une hausse de la TVA de 5,5 Ă  20 % sur l’Ă©lectricitĂ© le gaz, des sources d’Ă©nergie essentielles et indispensables que nous ne pouvons tout simplement pas nous permettre de perdre. il Ă©tait possible et lĂ©gal de tout mettre Ă  5% – Nous sommes captifs.

Ces augmentations aggravent encore davantage la situation de nombreuses familles parmi nous, qui doivent faire face à de nombreux défis pour survivre au quotidien.

Il devient évident que nous sommes gouvernés soit par des personnes totalement incompétentes, soit par des hypocrites, ou encore des criminels qui détournent le systÚme à leur profit.
Il est urgent que des mesures soient prises, le peuple ne peut pas se laisser conduire Ă  la ruine comme des moutons Ă  l’abattoir, la solidaritĂ© et la justice sociale doivent redevenir des prioritĂ©s pour prĂ©server notre avenir commun, ne laissons pas passer cette occasion de faire entendre notre colĂšre et notre volontĂ© de changement.

Le 10 septembre 2025 – tous et de tous les partis soucieux de dĂ©mocratie et du bien commun, nous devons tous nous rassembler pour faire entendre notre voix. Je serai de ceux qui vont agir et rassembler, Il faut Ă©jecter cette bande de requins mettre fin Ă  leur impunitĂ© et leur montrer que nous ne sommes plus dupes.

Notre avenir, celui de nos enfants, méritent autre chose que cette gestion abominable de cols blancs intouchables, hors du sol et repliés dans leur chùteaux dorés
Pascal lebecq