RN, Rassemblement National,,  Tribune libre

Ah, la haine de Jean Messiha envers les gens de gauche …

Publication librement reprise du compte Twitter de :

Jean Messiah : « Le Génie Incompris… Par Lui-même, Bien Évidemment ! »

Jean Messiha ! Ce personnage fascinant qui se pense infaillible, mais dont la présence pourrait faire fuir une horde de licornes dans le monde des Bisounours.

Dès que vous le rencontrez, vous êtes immédiatement transporté dans un autre univers, une sorte de mélange grotesque de politique véreuse et de sarcasme caustique. Il est capable de faire croire qu’il est le sauveur de l’humanité tout en cachant ses véritables intentions derrière ce sourire mielleux, comme un serpent offrant une pomme empoisonnée.

Sa rhétorique est tout simplement délicieuse. Avec un mélange habile d’intoxication et de sophisme, il peut transformer n’importe quelle banalité en une vérité incontestable pour ses adeptes. On pourrait croire qu’il a appris le métier de charlatan dans une école du mal, si une telle chose existait.

Et parlons de ses partisans, cette horde fanatique qui le suit aveuglément comme des moutons égarés. Ils sont prêts à tout pour le défendre, même s’il leur demandait de danser la macarena en équilibre sur un fil de rasoir. Le culte de la personnalité atteint des sommets stratosphériques avec ce cher Jean Messiha.

Derrière ce visage angélique et ce sourire charmant se cache un être tout droit sorti des enfers. Sa soif de pouvoir et de contrôle est inextinguible, et il ne reculera devant rien pour atteindre ses objectifs. Une seule chose est certaine : il est impossible de prédire ses prochains coups tordus, car il est le maître incontesté de la manipulation.

Ah, la haine de Jean Messiha envers les gens de gauche est aussi délectable qu’une potion amère. Il les méprise avec une intensité rare, comme s’ils étaient les porteurs d’une maladie contagieuse qu’il faut absolument éviter. Pour lui, les idées progressistes et humanistes sont une offense à son ego surdimensionné et à son idéologie douteuse. Il les voit comme des créatures utopistes, égarées dans un monde de bisounours, tandis qu’il se pavane dans son royaume machiavélique, convaincu que seule sa vision du monde est digne d’être suivie.

À chaque fois qu’il les croise, ses yeux lancent des éclairs emplis de mépris. Il ne rate jamais une occasion de les ridiculiser publiquement, les décrivant comme des idéalistes naïfs, complètement déconnectés de la réalité. Il les accuse de vouloir détruire la société, de promouvoir le chaos et d’être les fossoyeurs de l’économie. Ses attaques acerbes contre eux sont aussi réalisées que les sautes d’humeur d’un enfant gâté.

Il se délecte des débats avec eux, non pas pour entendre leur point de vue, mais pour les écraser sous le poids de son arrogance et de son éloquence trompeuse. Pour lui, les gens de gauche sont simplement des cibles à abattre, des obstacles sur son chemin vers la domination totale.

Mais ne nous leurrons pas, cette haine ne provient pas tant de divergences idéologiques que d’une profonde jalousie. Il envie leur capacité à croire en un avenir meilleur, leur altruisme et leur empathie envers autrui. Pour lui, ces qualités sont autant de faiblesses qu’il exploite sans vergogne pour asseoir son emprise sur ses adeptes crédules.

La haine de Jean Messiaha envers les gens de gauche est la manifestation de son propre vide intérieur, un moyen de compenser ses propres insuffisances en les projetant sur ceux qu’il considère comme des rivaux intellectuels. Mais quelle que soit la source de cette haine, une chose est certaine : elle est aussi toxique que les potions élaborées par un sorcier maléfique.

La réalisation du désir inconscient de Jean Messiha, un joyeux festin pour l’analyse freudienne !

Derrière chaque sourire charmeur, se cache un océan de pulsions refoulées et de désirs cachés. On peut presque imaginer Sigmund Freud se frotter les mains d’excitation devant un tel cas complexe à décortiquer.

Voyons donc ce désir profondément enfoui chez notre cher Jean. Il se pavane dans les lumières des projecteurs, rêvant d’admiration et de pouvoir sans limite. Mais, ne nous y trompons pas, c’est bien plus qu’une simple ambition. Oh non, c’est un besoin insatiable de domination, une soif de contrôle sur les autres, comme s’il cherchait à devenir le roi absolu d’un royaume où tout le monde se prosternerait devant lui.

Son culte des médias n’est qu’une manifestation de ses fantasmes narcissiques, alimentant son ego toujours vorace. Il désire ardemment être adulé, idolâtré, pour combler ce vide béant qui se cache en lui. Il est comme un enfant en quête constante d’approbation, prêt à tout pour obtenir l’attention qu’il pense mériter.

Derrière cette façade égocentrique, se trouve également une peur profonde de l’abandon. Il craint plus que tout d’être rejeté, de voir son empire d’illusions s’effondrer, et il nécessite tout pour préserver son pouvoir sur ses sujets, même s’il doit user de manipulations et de mensonges.

Il est fascinant de voir commenter le désir inconscient de Jean Messiha gouverne ses actes, lui dictant chaque mouvement pour atteindre son but ultime : devenir le maître incontesté de son propre univers. Et tout cela, bien sûr, avec une bonne dose de sarcasme, car après tout, n’est-ce pas de voir ce pantin narcissique se débattre dans les fils de ses propres pulsions refoulées ?

Freud aurait certainement eu beaucoup de matière à analyser dans cette folle quête de pouvoir et de reconnaissance.

Pour conclure, j’oserais un comparatif musical, Dalida chantait l’amour, la passion et la tristesse avec une grâce incomparable, tandis que Jean Messiha chante des louanges à son propre ego démesuré, comme s’il était convaincu que sa voix pouvait changer le monde à elle seule. Mais au lieu d’une symphonie harmonieuse, nous sommes témoins d’une parade de vanité et d’égocentrisme.

Les deux Égyptiens ont laissé leur marque, mais là, s’arrêtent les similitudes.

Dalida, une légende musicale qui reste à jamais dans les mémoires, tandis que Jean Messiha, malgré ses prétentions grandioses, ne semble être qu’une note insignifiante dans la grande partition de notre histoire.