đ© La situation politique du pays, Ă son plus haut niveau, n’est plus tenable
Le coup de bec de Pascal Lebecq du 16/02/2025
Nos institutions ne sont plus que le semblant d’une ombre, leurs rĂŽles sont dĂ©tournĂ©s au service d’une Ă©lite politique qui privilĂ©gie son enrichissement ainsi que celle des hypers capitalistes
ils agissent contre le peuple et actent Ă son dĂ©triment. Les valeurs morales et Ă©thiques qui façonnent notre sociĂ©tĂ© sont totalement anĂ©anties, leurs dĂ©gradations sont maintenant considĂ©rables sous la « macrolepĂ©nie ». AttachĂ©s au pouvoir, un grand nombre dâhommes et de femmes politiques ne se gĂȘnent plus pour couvrir des affaires de plus en plus graves et occulter la vĂ©ritĂ© sans gĂšne et sans pudeur en dĂ©tournant la vĂ©ritĂ©. Ces Ă©lus s’arrangent entre eux⊠loin du peuple Ă qui ils se doivent dâĂȘtre honnĂȘtes et loyaux. Les mĂ©dias Ă leur service sont leur courroie de transmission cynique.

La situation politique du pays Ă son plus haut niveau n’est plus tenable, l’affaire de pĂ©docriminalitĂ© de l’Ă©cole catholique notre-Dame-de- BĂ©tharram s’inscrit dans une affaire d’Ă©tat gravissime et comme on nâen a pas connue depuis des dĂ©cennies ; la responsabilitĂ© pĂ©nale et politique du premier ministre y est totalement engagĂ©, quoi quâen disent les mĂ©dias Ă la solde du pouvoir macronien – câest du jamais vu Ă ce stade !
François Bayrou est dans la tourmente suite Ă ses mensonges rĂ©pĂ©tĂ©s devant lâassemblĂ©e nationale – il nâest plus en mesure de diriger la France : il doit dĂ©missionner du poste de premier ministre et de toutes ses fonctions Ă©lectives – il doit rĂ©pondre de ses manquements face Ă la justice.
- l’affaire de pĂ©docriminalitĂ© de l’Ă©cole de BĂ©tharram qui colle au train du premier ministre est d’une gravitĂ© extrĂȘme, il sâagit de crimes sexuels sur mineurs qui ne peuvent ĂȘtre minimisĂ©s dans une sociĂ©tĂ© qui se respecte et respecte les droits humain.