🦴 »La légion d’honneur » Le retrait de la légion d’honneur au condamné Nicolas Sarkozy

Coup de bec de Pascal Lebecq -Le 19/06/2025

La légion d’honneur de Nicolas Sarkozy – Un privilège de voyous

La légion d’honneur est une distinction qui récompense souvent des personnes ayant accomplit des actions remarquables pour la société. Il est paradoxal que cette distinction soit attribuée à des individus dont le comportement ne correspond pas à l’idéal de mérite et d’intégrité qui justifierait cette marque de respect.

Malheureusement, sous la macronie, accorder la légion d’honneur à certains individus – qui sont des voyous reconnus et comme tels jugés coupables de manipulation, de vol, de détournement de fond publics est courant et cela apparaît bien comme une forme d’hypocrisie si ce n’est d’insulte envers ceux qui méritent grandement ces honneurs. Cette reconnaissance officielle dévoyée ne reflète pas la moralité ou la vertu et par choix devient discutable.

N’oublions pas les nombreux avantages de cette distinction qui offre une reconnaissance publique et ouvre des portes et facilite des initiatives. Les descendants sur trois générations peuvent intégrer l’école de la prestigieuse légion d’honneur, avoir des vacances dans des résidences de standing, et certainement bien d’autres choses non médiatisées – évidemment le tout sur le compte du contribuable,

Mon coup de gueule : Elle va mal notre république

Un ouvrier qui a travaillé quarante ans au SMIC, une mère de famille qui a élevé ses enfants sans histoire, sans faire parler d’elle ni les enfants, une personne aidante qui consacre sa vie à un proche ou une autre personne en difficulté ou malade, en soi, mériterait bien plus cette reconnaissance et ce respect – Ces personnes ont souvent fait preuve de dévouement, de courage et de sacrifices pour leur famille et leur pays.

• C’est ceux qui donnent le meilleurs d’eux mêmes pour la société qui devraient avoir cette légion d’honneur, plutôt qu’à ceux qui abusent des ors de la république pour leur confort et leur proches souvent au-dessus des besoins

Pascal Lebecq