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Gérald Darmanin : Un petit prince déchu !

Texte librement repris sur le compte Twitter de :

Bienvenue au « Gérald Darmanin Show », le cirque politique le plus hilarant de tous les temps !
C’est presque comme si on assistait à une pièce de Shakespeare version politique.

Et que dire des ambitions démesurées de notre cher protagoniste ?

On se croirait dans la série « Joséphine, ange gardien », où Gérald pense pouvoir grimper les échelons du pouvoir en un claquement de doigts, mais il semble avoir oublié que la vie n’était pas une fiction !

Oh, et parlant de jeux politiques, faisons une petite comparaison avec Sarkozy, l’ancien maître du « show-biz » politique.

Si Sarkozy était un olibrius, alors Darmanin serait sans aucun doute son humble disciple. Mais même dans cette compétition d’égos démesurés, Gérald a encore du chemin à cheminement pour rattraper le maître en la matière.

Gérald Darmanin, le politicien qui rêve d’avoir la France à ses pieds, mais qui semble plutôt s’être pris les pieds dans le tapis de la réalité.

Ce paltoquet a longtemps cru qu’il serait couronné.

Malheureusement pour lui, la vie en a décidé autrement, il déambule ainsi dans un état d’humiliation et de trahison dont on ne peut que se délecter.

Oh, bien sûr, il essaie de garder la face en nous murmurant un pathétique « mais ça va bien se passer ».

Comme si on pouvait le croire ! Vous pouvez presque entendre les violons jouer en arrière-plan pendant qu’il déclame cette phrase digne d’un mauvais scénario de série B.

Mais ne vous inquiétez pas, le petit prince blessé a un plan pour se remettre de ses blessures émotionnelles.

Rien de mieux qu’un petit arrêt de maladie pour se faire dorloter et choyer, n’est-ce pas ?

Les policiers en ont fait une mode, alors pourquoi pas lui ? Il sait très bien que le peuple aime payer pour les petites comédies de ceux qui sont censés le servir.

Et devinez quoi ? Il ne manquera pas d’accuser le « terrorisme intellectuel de gauche » pour expliquer sa situation.

Eh oui, car quand on est incapable de faire preuve de leadership ou de convaincre ses paires, il est bien plus facile de pointer du doigt une menace imaginaire plutôt que de reconnaître ses propres échecs. Un vrai maître de l’illusion, n’est-ce pas ?

En-tout-cas, en tant que défenseur des faits alternatifs, Gérald Darmanin a prouvé son talent pour créer sa propre version de la réalité. On pourrait presque le comparer à un prestidigitateur politique, capable de faire disparaître les preuves de ses erreurs et d’apparaître sous un jour favorable à lui-même.

Un homme qui se considère comme un grand joueur politique, mais qui se retrouve au final dans l’ombre de ses ambitions déçues.

Alors que la vie politique continue de tourner, Gérald Darmanin est devenu le personnage de sa propre tragédie, et il en est le seul pathétique auteur.

Le « Gérald Darmanin Show » est loin d’être terminé, et seule l’avenir nous dira comment ce mufle poursuivra sa carrière politique.

D.R