- Actualités générales

Le roi Charles rencontre son homologue Macron dit « Casserole premier » – La monarchie anglaise en France


/Dessin de Franck Vriens

L’immigration dans notre région et son cimetière dans la manche, la situation des pécheurs du littoral français, l’inflation sans limites qui touche nos pays, la pauvreté et l’exclusion grandissante des plus fragiles d’entre nous, le Brexit, rien de ces sujets sérieux n’ont été abordés  par les deux « monarques » Ensemble ils démontrent que monarchie et régime totalitaire sont deux rouleaux compresseurs au service de la destruction des républiques et écrasent leurs populations.

Dans ce monde de monarchie, la règle est de penser à soi, à sa noblesse complice et à son prestige … on s’efforce d’ignorer le reste du monde,

La misère est pour le peuples qui culpabilisent d’être responsables de leurs propres situations, c’est ce qu’on lui fait croire. 

L’abondance aux bourgeois qui considèrent qu’elle leur est légitime, cela leur permettant de s’attribuer la grande vie sur le dos de ces autres. C’est leur idéologie.

L’écœurement surgit de voir cela dans notre pays, le rayonnement de la France pays des droits de l’homme en prend un sacré coup,

 Un dîner d’apparat indécent à Versailles, Palais somptueux des Rois

En pleine inflation alimentaire ou une grande partie de nos compatriotes ont supprimé un repas par jour avec en prime 10 millions de pauvres, la bourgeoisie s’attribue la plus belle table, la grande boufetaille, les grands vins, le tout financés par le peuple de gueux, les Français., c’est une honte … nous sommes revenu à l’époque des seigneurs.

Au passage Macron le président de « tous » les Français nous claque une bonne discrimination … que des notables à table. 

Petits patrons, commerçants, artisans, acteurs, chanteurs étaient exclus de ce banquet de nobles : populace, vous êtes indésirables, vous ne représentez rien. Drôle de façon de rassembler, imaginons, qu’il pouvait tout simplement répartir et équilibrer les choses en permettant à des personnes plus modestes d’être aussi présent.

Pascal Lebecq