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Le sénat, exterminateur des fonds publics

Communiqué de Pascal Lebecq du 14 janvier 2025

L’une des dépenses faramineuse du sénat – le siège à 40000 euros d’argent public

On ne peut pas prôner la réduction des déficits publics et de ne pas se l’appliquer soi même pour la réduction du déficit et de la dépense publique avec des actes concrets,

Ce sont les paroles prononcées ces derniers jours par Gérard Larcher, le président du sénat

On demande aux Français de se serrer la ceinture tout en les culpabilisants d’avoir ruiné les 

finances publiques et nous apprenons par les médias que le sénat vient de se doter d’un fauteuil prototype d’un montant de … 40 000 € dédié au confort du postérieur de son président Gérard Larchez

Cette dépense démentielle est elle raisonnée, répond t’elle aux besoins de pénibilité d’un poste de travail ? ou ce serait tout simplement le comble de la folie d’un « prestigieux » et fort coûteux serviteur de quoi ? … de l’état ?

Avec une telle dépense on peut supposer que le président du sénat Gérard Larcher souffre 

De diverticules externes. Les hémorroïdes sont une dilatation des veines autour de l’anus et du rectum entraînant des gènes – ces déformations veineuses pouvant avoir plusieurs causes, s’expliquant par une mauvaise hygiène de vie, un surpoids, une l’obésité créant une pression abdominale, une consommation élevée d’alcool, de plats trop copieux et trop épicés rendant la position assise prolongée douloureuse. 

L’endormissement et la paresse sur un siège trop confortable augmente ce mal être, c’est donc un mauvais investissement

A mon avis il ne faut pas être dupe la réalité de cet achat de 40 000 € qui est un abus loin d’être nécessaire. Avec ce comportement éléphantesque, le président du sénat se fiche littéralement des conditions des Français et de l’état de délabrement du pays.

Il contribue à sa façon à la  ruine et au chaos du pays, Gérard Larcher n’a aucune valeur de l’argent et se prend pour un monarque s’octroyant tous les droits.

La présidence du sénat se confond dans la médiocrité intellectuelle des dirigeants qui manipulent les institutions essentiellement au bien être de leur seule personne,