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⛅️💥Vie économie à Rety – loupé et 18 années de perdues

Coup de bec de Pascal lebecq 

La zone d’activité de Réty devait être le poumon financier de la commune, elle est devenue une piètre affaire aux yeux de tous. Après dix huit longues années d’attente, les élections arrivant, du coup, la zone d’activité de réty devient enfin une réalité. Serait-ce lié ?

  • Sauf que pendant toutes ces années, nous avons connu des pertes de revenus considérables de plusieurs millions d’euros et des opportunités manquées. Ce  projet, tant espéré, devait représenter pour notre commune une étape indispensable pour dynamiser notre économie locale.

Aujourd’hui nous pouvons envisager un avenir un peu plus prospère. La création de cette zone d’activité ouvrant enfin de nouvelles perspectives d’emploi, d’investissement et de développement pour Rety.

Mais…  si l’on pensait que cette zone avait été étudiée avec sérieux, ce n’est pas le cas

En réalité le travail de réflexion à son sujet reste mal fait et peu abouti. Cette zone est conçue en camembert avec une entrée et un sortie au même point qui provoqueront des bouchons au terme du développement, cela avec des parcelles limitées en surface.

  • Les retombées économiques pour la commune sont minimes, le laxisme du maire a fait que cette zone est – depuis une dizaine d’années – désormais passée sous gestion de la communauté de communes de la terre des deux Caps, ce qui signifie que les bénéfices et les retombées économiques seront principalement pour la communauté elle-même et non pour la commune en tant que tel. Encore une fois on voit là l’intérêt du maire pour « sa » communauté de commune » avant celui de « ses » administrés de Réty

De plus, il ne faut pas oublier un premier loupé avec l’installation d’un crématorium, qui contrairement à ce qu’il avait été annoncé lors du projet de construction ne génère pas les 45 000€  de revenus escompté … et annoncés –  mais de 4600€ – soit dix fois moins.

L’impact économique reste donc limité pour la commune, ce qui soulève des questions sur la rentabilité réelle de ce projet mal pensé et quasiment saboté

Pascal Lebecq